Raoul

Toute la ville était en liesse, c’était la grande fête du début du printemps, a cette époque ci de l’année le roi organisait un grand festin, certain hommes d’arme très glorieux y était convier pour qu’avant le festin ils soient nommer Chevalier. Beaucoup d’homme rêvait de devenir chevalier mais plus que qui conque, Raoul en avait toujours rêvé, et aujourd’hui enfin, il était nommé chevalier.
-Et enfin, je nomme Raoul, fils de Hugues, qui est forgeron d’arme dans notre caserne, Chevalier.
Raoul était grand et fin, avec les épaules carrées, ce n’était pas le plus endurant au combat mais à la course oui. Il était brin, le visage souriant. Lorsque les gens le voyaient de loin ils le trouvait plus homme de chambre que chevalier.
Raoul était très heureux mais quelque chose le tracassait, comme tous les nouveaux chevaliers, il aura une entrevue seul à seul avec le roi, et comme il convoitait secrètement la main de la princesse, il profitera donc de son entrevue avec le seigneur, mais il ne savait pas comment lui annoncer. Le roi s’installa a sa table et commença à manger signe que le repas était commencer. On servit du vin chaut, du pain, du cochon, des paons…
Raoul n’était plus tracasser du tout : il mangeait. Le repas avait commencé au lever du jour et c’était terminé à midi.
Le roi commença ses entrevues par Raoul :
-Bonjour, fit Raoul en faisant un salut maladroit.
-Bonjour. Vien t’assoir ici, dit-il en montrant du doit un siège, tu es maintenant chevalier et Guillaume doit c’être charger de t’apprendre tout sur le code de l’honneur, sur la tenue, et la courtoisie du chevalier, mais sais tu a quelle poste tu vas être mit ?
-Non, monsieur.
-Tu feras partie des chevaliers libres pour 7 mois, au cours des quelles tu devras faire ta renommée, prendre de l’expérience au combat, apprendre de nouvelle technique de combat. A tu des questions ?
-Et la fin de c’est 7 mois que devrai-je faire ?
-Tu auras le droit de rentrer au château.
-Pas avant ?
-Non
George repensa à la fille du roi.
-j’aimerais…
-oui ?
-avoir…
-avoir ?
-la main de votre fille
-tu aimerais avoir la main de ma fille ?, le roi éclata d’un grand rire, Reviens et si tu a acquis une grande gloire tu aura le droit à sa main.
-Et avez-vous une idée d’une quête que je pourrais faire pour avoir suffisamment de gloire.
-Par exemple ? Tu pourrais me ramener l’épée de George le sanguinaire, ou une écaille de dragon je pense que sa suffirait. A par sa, tu auras 3 jours pour quitter le château après la fin du tournoi au quel tu participeras.
-Je participerais au tournoi ?
-oui, et d’ailleurs tu devrait te faire préparer une lance pour demain
George sorti du donjon a l’armurerie, le roi lui avait donné de l’argent pour s’acheter une armure et une belle épée de chevalier.
-Bonjour Augustin
-Bonjour chevalier
Augustin le meilleur ami, était baraquer bien plus muscle que son ami, il était aussi fort que son ami mais bien moins agile.
-je viens chercher une épée et une lance pour le tournoi de demain
-Tu participe au tournoi ? Tu en a de la chance
-tu veux le faire a ma place, parce que moi je meure de peur.
-je n’est pas le droit, désolé, dit-il avec un sourire au coin, je te fait préparer sa pour demain

Il était déjà tard et Raoul préféra aller ce coucher pour reprendre des forces pour le lendemain

Au matin Raoul mangea rapidement et alla ce préparer pour le tournoi, il alla dans sa tante, s’équipa de son armure grâce au servant. C’était déjà son tour, on le fit monter à cheval, et on lui passa sa lance. Le roi était assis à cote de sa dame et de sa fille, au tour deux il y avait les généraux, et les seigneurs voisins. Raoul s’élança… Son adversaire était de petite taille tel un arbuste, mais robuste tel un arbre centenaire. Le Nain fracassa sa lance sur l’écu de Raoul qui tin bon. Le Nain changeât de lance rapidement, et ils s’élançairent a nouveaux l’un contre l’autre. Raoul ne pu tenir cette fois-ci, et s’écroula par terre. On vint le chercher rapidement et ont le ramena dans sa tante, malgré le choc Raoul n‘avait rien d’autre qu’un hématome. Claude car tel s’avéra être le nom du Nain vint s’enrichir de l’état du jeun chevalier, ce qui ne fit qu’accroitre la sympathie du jeun garçons pour le Nain.

Si vous voyer des chose qui pourrai l'ammeliorer maiter le : https://laquete.jeun.fr/Accueil-c1/Suggestion-f5/Parole-en-raport-avec-les-histoir-poster-dans-Livre-a-lire-f44/-p1185.htm#1185

Chap.2

Raoul quitta le château a l’aurore, il n’avait avec lui que son cheval de combat, son épée sa dague, son armure, un peu de nourriture et une petite somme d’argent. Il trottait plein Nord pour que dans 2 jours il arrive a l’entre de la forêt. Il traverserai alors la forêt pour arriver finalement la citée des elfes : Kramdor. Mais avent tout il devait traverser ce désert pour arrive à l’entrer de la forêt, son cheval manquerait certainement d’eau et si une tempête ce déclenchai il pourrai en mourir. Il marchait donc depuis un jour et demi lorsque la tempête ce déclencha. Elle ce déclencha à sa gauche il partit donc au grand galop vers sa droite un jour plus tars il arriva a l’entre de la forêt. Il marcha ensuite jusqu’a ce qu’il trouve un lac, il sauta par terre et s’endormi par terre, e, laissant son cheval aller boire.
Il ce réveilla en sentent une présence au tour de lui. Il sursauta en voyant un homme, il prit son épée et ce mit en garde, mais déjà il avait reçus un coup dans les cotes par derrière puis plusieurs hommes se jetèrent sur lui, ils l’attachèrent puis le jetèrent sur la croupe d’un cheval qui n’était pas le sien, il chercha du regard son cheval mais ne le vit pas, par contre il aperçut un truc marron ressemblant à son cheval allonger par terre, inerte… il fut plus triste par la more de son cheval que par sa capture. Lorsqu’il se réveillât il était dans une cage porter par des hommes étrange, ils étaient brun, les cheveux a la hauteur des épaule et les oreille pointue, ils étaient dans une grande clairière mais les maisons étaient dans les arbre, mais certain bâtiment était par terre, il l’emmenèrent dans le sous sol de ce qui ressemblait a une arène. Ils le firent sortir de la cage et un homme arriva, il n’était remplit que de muscle.
-Viens, lui dit-il.
Raoul le suivit jusqu’a une cellule, l’homme l’ouvrit et fit rentrer Raoul de dans.
-Il sont étranges ces gens n’es pas ?
Celui qui venait de parler était dans la cellule d’en face.
- Qui est tu ?
- Je te retourne la question
- Je suis Raoul chevalier fils de Hugues forgeron à Marfor
- Et moi je suis un stupide marchand qui n’ai pas voulut écouter mes amis.
- Tu t’appelles comment ?
- Thibault est mon nom
- pour revenir à ta 1ere question, c’est vrai qu’ils sont étranges ces hommes
- D’ après les légendes ils descendrait d’un clan nommer les elfes
Le garde, sans grasse, passa entre eux.
- Préparez vous, vous aller affronter les champions de George le sanguinaire
- George le sanguinaire sera la ?
-il est notre inviter…

[color=#000000]Chapitre 3

-Sort de ta cellule toi, dit le garde à l’intention de Raoul.

Le garde ce retourna et dit la même chose, en ouvrant la porte, au nouvel ami de Raoul. Il les guida ensuite jusque dans l’arène

-vous voyez la personne tout en haut au milieu, là-bas ? Leur dit le garde, hé bien, c’est lui, Georges la sanguinaire.

Le garde rentra dans les sous sol en fermant la porte derrière lui.

Raoul n’avait ni arme ni armure.

Un 1ER champion sorti il s’approcha de Raoul, leva son arme et l’abaissa, mais Raoul n’était plus la, il était dans son dos, et envoya son coude dans le cou. Le champion s’effondra, Raoul ce baissa et ramassa l’arme du champion. Déjà un nouveau champion sortait dans le dos de Raoul, celui-ci ce retourna et courut jusqu’au nouveau champion, le champion crut que Raoul le chargerais, et ce mit donc en parade, mais pour le surprendre Raoul s’arrêta et abaissa son arme, le champion attaqua, mais Raoul fit un pas sur le coté et enfonça son arme dans les cotes de son adversaire qui s’effondra lui aussi. Un champion sorti d’une porte à l’opposé de Raoul, mais au lieu de s’approche de Raoul, le champion préféra rester la ou il est, en garde. Raoul s’avance donc devant Georges le sanguinaire. George ce leva :

- Regarde, même tes champions on peur de moi.

- ce champion est un lâche !

- Et toi, George le sanguinaire, on raconte partout le sang versé par tes armés, par le sang celui versé par ton arme, d’après les récit tu n’entre même dans les combats.

- Me traites-tu de lâche ?

- Oui !

- Qu’on le fasse exécuter sur le champ.

- Regarde, tu appelle encore tes hommes à l’aide, lâche !

- Tue-toi ou je viens te tuer de mes propres mains.

- Tu n’oseras même pas m’approcher !

- Mon arme ! Mon armure !

- Tu as peur de moi ! Moi qui ne suis avec aucune armure, aucune lance, avec rien de plus qu’une épée même pas à ma main.

Des serviteur n’avait fini de lui enfiler son armure, mais Le rois partie quand même, avec son épée longue dans la main gauche, parfaitement ajuster a sa main, une jambière a la jambe gauche, sa cote de maille a moitié enfiler. Il était furieux.
Le sanguinaire sauta dans l’arène, s’approchant, d’un pas furieux et rapide, de Raoul.

Il s’arrêta puis attaqua, Raoul parada la cou et riposta.

Le combat dura longtemps.

Raoul et George étaient d’égal niveau. Ils s’effondrèrent en même temps au bout d’une demi journée de combat.

George le sanguinaire ce leva posa son arme par terre, il marcha jusqu a Raoul et l'aida a ce relever, et lui dit :

[color:d3cc=#000000:d3cc]tu est vaillant et courageux chevalier, c’est pourquoi je t’affronterais de nouveau demain. A l’issue du combats, si tu gagne tu seras libre de retourner dans ta patrie, si tu perd tu seras dans mes troupes. – et mon ami ? - il prendra le même chemin que toi ! Bon, suivez moi vous deux. Raoul et Thibault le suivirent, il les emmena jusque dans son château, il demanda à un servant de les accompagner jusqu’a leur chambre, et de leur préparer un bain